Une étude révèle une contamination généralisée au mercure chez les manchots de l’océan Austral. Les chercheurs ont analysé des plumes et échantillons sanguins, identifiant des zones critiques liées aux émissions industrielles et courants océaniques. Les manchots empereurs et Adélie présentent les niveaux les plus élevés, menaçant leur santé et les écosystèmes. Ces résultats soulignent l’urgence de réguler le mercure et de renforcer la conservation marine. Les scientifiques demandent des politiques strictes pour réduire les rejets anthropiques, soulignant l’impact sur la faune antarctique et les chaînes alimentaires humaines.