Une nouvelle étude suggère que les moustiquaires imprégnées d’antipaludiques pourraient empêcher les parasites du paludisme de se développer à l’intérieur des moustiques. Les chercheurs ont constaté que lorsque les moustiques se nourrissent de sang contenant des médicaments antipaludiques, les parasites sont moins susceptibles de mûrir et d’être transmis aux humains. Cette découverte met en évidence un avantage supplémentaire de l’utilisation de moustiquaires imprégnées dans les programmes de lutte contre le paludisme. L’étude propose de nouvelles stratégies pour lutter contre la transmission du paludisme.