Une étude publiée dans BMJ Mental Health suggère que la consommation quotidienne de 3 à 4 tasses de café est associée à des télomères plus longs chez les personnes atteintes de maladies mentales graves, ce qui pourrait ralentir le vieillissement biologique d’environ cinq ans. La consommation de cinq tasses ou plus ne présentait aucun avantage et pouvait même augmenter le stress cellulaire. L’effet protecteur pourrait provenir des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires du café. Ces résultats soulignent le rôle potentiel d’une consommation modérée de café dans la préservation de la santé cellulaire chez les populations psychiatriques.